mode d'emploi

Châteaux de la Loire

Le Béguinage à Cour Cheverny Son admirable parc Les poules sans gêne L’étang alimenté par le Courpin L'église de Cour Cheverny Château de Cheverny. 
Le domaine appartient à la famille Hurault depuis 6 siècles. Les Hurault étaient des financiers et officiers au service de plusieurs rois de France. Pendant deux laps de temps il eut d’autres propriétaires, entre autres Diane de Poitiers quand elle fut évincée de Chenonceau par Catherine de Médicis. 
le château servit de modèle à Hergé, il lui enleva simplement les ailes et  le situa à Moulinsart, toponyme obtenu en inversant les termes de Sart-Moulin, petite ville du Brabant Wallon. 
Annette femme de chambre au château servit de modèle... de même que Jean-Louis journaliste à la N.R.
Le jardin bouquetier qui permet de fleurir le château Le lac alimenté par la petite rivière « le Courpin » que l’on retrouve en aval au Béguinage
Cygnes curieux... … et bons gardiens « Prélude », sculpture en bronze de Gudmar Olovson (1936-2017) Le jardin de l’amour avec « les Deux Sœurs », « la Vague » et « la Chute » « Les Deux Arbres » symbolisant le couple Tilleul des familles ou de Hollande, planté vers 1870 Vignoble bio récemment planté Le jardin des apprentis, de conception contemporaine, qui a été créé en 2006 dans le cadre d’un chantier d’insertion
La façade nord du château Le jardin des apprentis mène à l’Orangerie L’Orangerie Abreuvoir pour homo erectus La salle à manger qui peut accueillir 30 convives. Les chaises se manœuvrent à l’aide de roulettes ! La cheminée de la salle à manger surmontée d’un buste de Henri IV dont le père du constructeur était le chancelier. Chambre d’enfant Salle à manger familiale : casseroles et moules en cuivre qui servaient à faire des charlottes, kouglofs et savarins Vaisselle de Cheverny L’escalier d’honneur
La montée droite avec palier rappelle l’influence italienne en Val de Loire. La pierre est sculptée de motifs et thèmes à la mode sous Louis XIII : guirlandes, fruits, attributs guerriers. Au dessus de l’armure, des bois préhistoriques de cervus megaceros (ancêtre de l’élan) qui datent de 6000 ans et ont été trouvés dans les glaces de Sibérie au début du 19ème siècle. L’installation correspond à la hauteur de l’animal ! Salle d’armes, la plus grande du château
Jean Monier en est le décorateur. Il a peint le tableau intitulé la mort d’Adonis (symbole du cycle végétal) au dessus de la cheminée. Les fauteuil Régence sont signés Boulard Plafond richement décoré La chambre du roi
Prie-Dieu Henri III Appartements privés.
Chambre des naissances  Berceau en acajou (époque empire) Chambre des mariés : robe de la marquise de Vibraye (1994) La marquise, le jour de son mariage Grande représentation en pied d’Anne-Victor Hurault, aide de camp de Charles X, dans le petit salon Le grand salon. 
Au dessus de la cheminée, portrait de Marie Johanne de la Carre Saumery, comtesse de Cheverny exécuté par Mignard, peintre de la reine Anne d’Autriche, mère de Louis XIV. 
La harpe du 18ème siècle est en excellent état La duchesse de Montpensier, dite -la Grande Mademoiselle -. Dans ses Mémoires, elle écrivait : - Cheverny, le palais enchanté - Fauteuil d’origine recouvert d’une magnifique tapisserie d’Aubusson Galerie : vase de Chine sur une table aux nombreuses sortes de marbre La bibliothèque avec ses 2000 livres Salon des tapisseries : une commode d’époque Louis XIV de style Boulle en marqueterie d’écaille de tortue teintée en rouge, laiton et bois Régulateur :  d’époque Louis XV, il marque les heures, les minutes, les secondes, le jour et les phases de la Lune Occupants d’un jour... Château de Blois.
Façade des loges
Entrée est du château avec la statue équestre de Louis XII L’escalier monumental, de type vis hors-œuvre, octogonal, dont trois côtés sont encastrés dans le bâtiment lui-même. Il est - fouillé comme un ivoire de Chine - selon Balzac. Détail de l’escalier Le porc-épic symbole de Louis XII (dont la devise était - Qui s’y frotte s’y pique -) La statue de Robert Houdin, né à Blois en 1805, constructeur d’automates et l’un des plus grands prestidigitateurs La maison de la Magie, face au château La rue des 3 clefs regroupait de nombreux serruriers ! Dans la même rue, maisons à pans de bois Rue et escalier Denis Papin aux marches et contre marches bien décorées Depuis le pont Jacques Gabriel (son architecte), vue sur le château et l’église St Nicolas Panoramique sur le centre ancien Départ vers la cathédrale : rues des Papegaults et du puits Chatel Jardin de l’évêché : la statue équestre de Jeanne d’Arc La mairie (ancien évêché) et la roseraie en contre-bas du précédent jardin Maison des acrobates (fin XVe siècle) les différents acrobates… La rue Denis Papin puis la route qui mène à Cheverny Festival international des jardins au château de Chaumont sur Loire.
Le thème 2021 était le biomimétisme. Le jardin des sous-bois en 4 clichés Titre : ce que l’on voit, ce que l’on sait. Jardin de la termitière Terrain vague abonde Retour aux racines Jardin Lotus Le jardin historique En cheminant vers le château ou bien le fleuve Catherine de Médicis, Diane de Poitiers, des membres de la famille de Broglie, y ont vécu. L’imposante demeure Armoiries La chambre de Ruggieri (astrologue de Catherine de Médicis) avec son lit à ciel suspendu Delta est l’initiale de Diane laquelle est la déesse lunaire et il y a trois lunes sur le manteau de la cheminée. Mais cette sculpture a aussi été interprétée comme le signe cabalistique d’un astrologue… Portrait en pied de Catherine dans la chambre éponyme La même chambre est décorée par cette tapisserie de la manufacture des Flandres qui représente l’histoire de David et Agibail. Le lit est richement sculpté. Détails de l’une des tapisseries de la salle du conseil Salle du conseil : Table à l’italienne du XVIe siècle surmontée de l’un des éléments de la Tenture des Planètes et des jours (tissée en 1570). Carrelage remarquable provenant du palais Collutio de Palerme Diane de Poitiers est manifestement bien représentée dans cette salle. Autre tapisserie de la Tenture. Chaque divinité de l’antiquité romaine correspond à un jour de la semaine et à une planète. Elle est assise sur un char symbolisant le déplacement des astres. Décor, façon vitrail, sur une fenêtre Escalier d’honneur à vis. L’art italien se manifeste par les motifs à feuillages. La remarquable cheminée de la salle à manger Menu frugal ? A table… Tapisserie d’Aubusson dans la bibliothèque. Elle représente un épisode de la vie d’Alexandre le Grand. Petit salon Daylighting disent les anglo-saxons : ce bas relief est mis en valeur par l’éclairage naturel. Salle de billard. Cette tapisserie de Bruxelles illustre un épisode de la vie d’Hannibal : ce dernier montre à trois de ses lieutenants la plaine du Pô. Le porc-épic passe aussi par ici Atmosphère raffinée dans le grand salon. Le mobilier date de l’époque Napoléon III. L’arrière du château est un belvédère sur la Loire. La cour intérieure La chapelle, construite et dotée d’un décor sculpté gothique flamboyant du XVIe siècle. Sarah Bernhardt, invitée régulière du couple princier Henri-Amédée de Broglie et Marie-Charlotte Say (héritière des raffineries de sucre...). Les écuries, les plus somptueuses et les plus modernes d’Europe, imaginées par l’architecte Paul-Ernest Sanson. Fiacres et autres voitures à cheval. Ancien four à poterie ou à verrerie remplacé à la base par un petit manège. Fleurissement de bon goût à l’entrée du château. Chambord. Façade nord-ouest avec le canal Vue de l’Ouest Entrée nord par les jardins à la française La pierre reflète la lumière printanière Rez-de-chaussée. Portrait en pied de François 1er Le Camp du Drap d’Or initié par François qui espérait une entente cordiale avec Henri VIII d’Angleterre face au futur Charles Quint. La rencontre se déroula dans une plaine où furent installées des tantes réalisées en drap cousu d’or. Cela coûta une fortune pour un résultat décevant : Henri finit par s’allier à Charles ! Cuisines du XVIIIe siècle Tableau datant de 1840, peint par Lancelot-Théodore comte Turpin de Crissé. Cette huile sur toile a pour titre :- Vue du Rialto à Venise -.Il s’agit d’une vue du grand canal avec la régate offerte à Venise pour le couronnement de l’Empereur d’Autriche, François Joseph Ier de Habsbourg-Lorraine. Sur le Grand Canal, le canot impérial, garni d’une tente bleue, s’avance au deuxième plan. Salle des Chasses Salle des Illustres. Henri de la Tour d’Auvergne, maréchal de Turenne, Maréchal de France en 1643 et maréchal général des camps et armées du roi en 1660, il fut l'un des meilleurs généraux de Louis XIII puis de Louis XIV. Stanislas Leczinski éphémère roi de Pologne. Sa statue est au centre de la place éponyme à Nancy. Louis XIV, roi de France, avec sa mère Anne d'Autriche, reine de France L’escalier à double révolution probablement pensé par Léonard de Vinci Décoration du plafond de l’escalier. La salamandre préférée par François est bien présente. 1er étage. Le théâtre de Molière. Ce dernier, accompagné de Lulli, présentèrent Monsieur de Pourceaugnac et le Bourgeois gentilhomme au roi Soleil. Musée du comte de Chambord. Henri d'Artois, petit fils de Charles X, duc de Bordeaux, est un prince de la famille royale de France, plus connu sous son titre de courtoisie comte de Chambord, chef et dernier représentant de la branche aînée et française de la maison de Bourbon, il est prétedant à la couronne de France de 1844 à sa mort (en 1833) sous le nom d'Henri V. Peinture équestre du comte. Ses jouets d’enfant... Les derniers moments du duc de Berry dans le foyer de la salle de l’Opéra après qu’il ait été poignardé. Il était le seul prétendant au trône de France. Ses funérailles furent en grande pompe grâce à  Louis XVIII. Appartement de parade. Trône. Bureau métallique Lit à baldaquin Vase au décor local Hall du 1er étage : Tapisserie commandée par Marie de Médicis à la manufacture ancêtre de celle des Gobelins : tenture de l’Histoire de Scipion (l’Africain). François 1er était fou de la chasse. 2ème étage. Des terrasses, vues plongeantes sur les jardins à la française puis sur le canal La tour lanterne du grand escalier la même L’une des nombreuses cheminées finement décorées Plafond à caissons Pas d’ambiguïté, l’initiale confirme l’identité du maître des lieux. Chapiteau finement décoré. Exposition temporaire – Arborescences – de Lydie Aricks. Les œuvres ont été créées spécifiquement pour le lieu. Titre de l'oeuvre : La fève -et ses fœtus ! - (2020 - 360 x 50 x 65cm) Performance publique : du 6 au 10 avril 2021 d’après le -Printemps- de Botticelli sur 8 mètres de long et 6 mètres de haut. Planetum (2020 - 100cm) Les origines (réalisé en 2020, format : 410 x 970cm) Balade en mini voiture électrique le long du canal Vue de l’extrémité est du canal L’entrée principale du château Vue de l'embarcadère Montrésor. La rue Potocki qui mène à la collégiale. La forteresse, érigée en 1005 sur ordre de Foulque Nerra visait à défendre les abords de la Touraine. Les nombreux artistes locaux ont su décorer les rives de l’Indrois, affluent de l’Indre. Habitation de la rue Branicki Statue nichée sur l’église St Roch Ruelle des Roches Tuiles...plates Entrée latérale de la collégiale (XVIe siècle) Gisants de la famille du fondateur Imbert de Bastarnay L’annonciation de Philippe de Champaigne Le château, construit par Imbert et habité depuis par la famille Branicki Les rives de l’Indrois avec ses occupants colorés La halle aux cardeux accueillait jadis le marché de la laine. Exposition permanente sur le gemmail – art du verre et de lumière - 
Apparu dans la première moitié du XXe siècle, le gemmail est une technique artistique dans laquelle des morceaux de verre peints sont superposés les uns aux autres (là où le vitrail les juxtapose). Cette superposition crée un remarquable effet de relief et de profondeur. Traversées par la lumière, les œuvres présentées sont originales ou inspirées d'artistes. Leurs couleurs jaillissent dans l'espace sombre de la Halle. 
Sur le cliché : art égyptien Les Jardins de Maria Serena  (Georgette Tavé) Le Pierrot (selon Picasso) Coco Chanel (Tavé) Jeune homme au verre de vin (d’après Quentin Latour) L’annonciation (Le Colas) Le grand Manipule (Solère) Le Héron cendré (Brayer) Orphée mort (d’après Cocteau) Les pavots (Murayama) Loches - Hôtel de ville (à gauche) et porte Picois (en face) L’une des tours du château Le donjon aux dimensions impressionnantes (37m de haut). A l’instar de la forteresse de Montrésor, Foulques Nerra le fit construire vers l’an mil pour protéger le Comté d’Anjou. Philippe de Commynes y fut emprisonné. La collégiale Saint-Ours. Elle abrite le tombeau d’Agnès Sorel, favorite de Charles VII. La tour St Antoine et le logis royal